Est-ce que je danse bien ? Comment puis-je m’améliorer ? Comment monter mon “niveau” ? Beaucoup de gens se posent cette question à un moment ou à un autre. J’ai passé de nombreuses années à essayer de m’améliorer en danse, et j’essaierai toujours. Mes motivations ont été très diverses : l’envie d’être plus invitée, d’améliorer ma maîtrise corporelle, de plus m’amuser, d’être autonome, d’avoir d’autres sensations, d’être appréciée comme danseuse, d’être aussi bonne que un.e tel.le, d’en savoir plus sur la danse … Mais comment faire et par où commencer ? Voici ma petite analyse de la question.
Dans cet article, je traiterai principalement de danses de couple, bien que la réflexion puisse être abordée plus largement. C’est tout simplement le prisme que je maîtrise le mieux, notamment les danses de couple en bal folk. Je traiterai aussi uniquement du prisme de la danse « sociale », pas de la prestation scénique, de la chorégraphie ou du concours, pour lesquels la notion de “bien danser” mise en avant est pour moi totalement différente du “bien danser en bal”. Enfin, pour rappel, je pratique toutes mes danses en double rôle (guidé et guideur) donc ma réflexion pourra porter sur les deux aspects.
Enfin, précisons qu’il ne s’agit ici que de mon analyse propre et subjective qui, bien sûr, n’engage que moi. Vous n’êtes pas obligés de partager mon avis. Chacun son ressenti, et c’est très bien.
« Bien danser » est une notion subjective
Soyons clairs, nous allons aborder un jugement de valeur éminemment subjectif, mais l’objectif est justement d’y réfléchir, de s’autoanalyser et de faire un peu d’introspection. Entre le débutant et le professeur de danse, il y a évidemment tout un tas de degrés de maîtrise technique qu’on aime appeler “niveaux”, pour autant, il serait hasardeux et même faux de dire que seul l’enseignant danse bien et que tous les autres dansent mal.
La notion de “bien danser” est parfois assez floue, car elle est à la fois relative à deux personnes qui dansent ensemble (notre capacité à danser va varier en fonction des qualités ou des limitations de nos partenaires) mais aussi, elle évolue dans le temps.
Ainsi, chacun son chemin et son interprétation.
Se représenter la progression
On utilise souvent un vocabulaire spécifique ou imagé pour parler de la progression en danse. On va parler de débutants, de faux débutants, d’intermédiaires, d’avancés... J’ai constaté pas mal d’incompréhension sur ses termes, des notions qui sont à la fois mal définies par les transmetteurs, et mal autoévaluées par les pratiquants. On essaie de se classer comme on peut, mais c’est généralement assez compliqué.
Plusieurs exemples :
Je peux être débutant dans une danse, mais pas nécessairement débutant en danse. Si je danse le tango depuis 10 ans et que je commence un cours de folk, ma coordination et ma conception de la danse ne sera pas la même qu’une personne qui n’a jamais dansé de sa vie.
Autre exemple, si un organisateur propose un stage avancé, le niveau technique des personnes qui assistent au stage ne sera pas forcément celui qui est attendu par le transmetteur, car bon nombre de personnes s’inscrivent en réalité dans le niveau qu’ils souhaitent avoir plutôt que celui qu’ils ont réellement. J’ai aussi rencontré des gens qui venaient sciemment à un stage pour lequel ils n’avaient pas les bases requises, car ils ne voulaient pas danser avec les débutants.
Même difficulté avec des instructions telles que « avoir 3 ans de pratique » : la pratique des gens n’est pas linéaire. Une personne peut pratiquer 3 fois par semaine pendant 3 ans, ou 1 fois par trimestre pendant 15 ans. Selon notre passé, nous ne possédons pas non plus la même coordination ou conscience corporelle que notre voisin.
En bref, nous ne partons pas tous sur un pied d’égalité et à chaque cours, le transmetteur va devoir se débrouiller avec le panel de gens présents pour que chacun trouve son compte dans la progression.
Certains transmetteurs évoquent des courbes temporelles et des paliers pour représenter la progression. Plutôt qu’une courbe, pour ma part, j’aime bien penser à un thermostat qui compterait plus ou moins de mesures, et comme sur un four qui décompte la chaleur, le temps et le mode de cuisson, il y aurait plusieurs paramètres développés à différents degrés. Et notre progression en danse consisterait à rajouter des échelons au thermostat pour régler la température de manière plus fine et précise.

Pour autant, bien danser est-ce avoir plus de coches à mes thermostats ? Ou être le plus fluide, respectueux et confortable dans le nombre de coches dont je dispose à l’instant « T » ?
Les champs de progression
Mais “progresser” est un mot au sens large. Même si l’on se limite aux danses de couple, progresser sur quoi ? Il serait bien, déjà, de déterminer les champs d’action sur lesquels on peut travailler, faire un petit état des lieux de là où on est et là où on veut aller.
Voici une petite liste informelle des aspects requis, selon moi.
La posture et l’élan postural
Acquérir une posture adéquate au confort et à la transmission d’informations (pour les deux rôles). L’élan postural, c’est développer l’énergie adéquate avec le type de danse et de musique musique, et le positionnement du corps en ce sens. En danse traditionnelle, bon nombre d’attitudes, d’élans ou de déséquilibres sont reproduits par mimétisme, mais les stages dédiés à ce sujet permettent d’acquérir “le bon geste”.
La connexion
La connexion représente la transmission d’information entre les partenaires, la capacité de la personne qui guide à transmettre l’information clairement, et la personne qui la réceptionne à la comprendre.
Améliorer cet aspect peut passer par une petite remise en question de nos habitudes, comprendre comment on transmet l’information à un danseur avancé ou comment la rendre plus claire à une personne moins expérimentée, identifier et supprimer les mouvements parasites…
La musicalité / l’interprétation
La capacité d’évolution en musique et sur le temps, de caler l’évolution du couple sur les propositions musicales. Cette musicalité est développée par les deux partenaires comme pour un dialogue.
La circulation et la gestion du parquet
Comme j’en parlais dans un autre article, la gestion du parquet c’est capacité commune des partenaires à prendre en compte l’évolution des autres danseurs sur la piste et à gérer son chemin en sécurité dans le sens du bal. C’est œuvrer au développement d’une conscience de groupe global, que nous avons évoqué dans un précédent article.
L’autonomie de pas et la capacité de recours à des variations
On se concentre beaucoup sur le nombre de variations que comporte notre répertoire. Bien souvent, c’est notre principal objectif : augmenter le nombre de variantes que je sais faire.
Pour ma part, ce que je trouve important, c’est déjà d’essayer de se renseigner sur les différents pas de base, leur origine géographique, s’ils sont liés ou non à certains styles de musique, par exemple. Avec l’idée de faire le pas de base approprié à l’énergie et au style de musique. Donc avant toute idée de « variante », déjà adapter son style à la musique, adopter une danse qui s’accorde à son contexte.
La culture de la danse
La connaissance globale de l’histoire de la danse : de son origine géographique et des spécificités du territoire, de ses styles, de ses évolutions, la culture musicale. Du milieu dans lequel elle était dansée, voire le territoire dans lequel elle était dansée, ce qui donne aussi des indications sur le style.
Vous me direz, quel rapport avec le niveau de danse ou bien danser ? Mais peut-on « bien danser » sans savoir ce qu’on danse ?
Monter son niveau en laissant tomber les croyances limitantes
Quand j’ai commencé la danse, comme souvent j’ai été attirée et influencée par les modèles que je voyais sur internet et dans le bal, des personnes virevoltantes avec un style de feu. On essaie d’identifier des modèles, mais parfois sans connaître les codes de la danse, donc un peu au hasard.
Il m’a fallu de nombreuses années pour identifier un certain nombre de freins et de croyances limitantes que j’essayais sans cesse d’atteindre et de reproduire aveuglément, même quand elles ne me convenaient pas personnellement.
Il faudrait savoir faire plein de variantes ou de l’improvisation débridée
Il y a une croyance limitante portée par bon nombre de débutants, qui consiste à penser qu’un bon danseur de bal est celui qui fait plein de variantes et de l’improvisation. Et on en voit de toutes les couleurs, des porteurs, des tombeurs, des tournoyeurs, des sauteurs, des leveurs de jambes… Une idée répandue est qu’un bon danseur, il se voit, il est flamboyant, il n’est pas limité dans sa créativité. Il y a plein de gens qui s’engouffrent là dedans, pour faire le plus de variantes possibles, quitte à les faire mal, mais surtout en faire plein.
Sauf que, de mon point de vue, les bons danseurs sont avant tout dotés d’une musicalité, d’une écoute et d’un confort sans limites, plus que d’un nombre important de variantes. Ce n’est pas du tout incompatible avec le fait de faire 1000 variantes flamboyantes, mais ce serait une erreur de croire que savoir faire des portés équivaut automatiquement à être bon danseur. La maitrise approfondie d’une danse et de ses sensations se voit à l’extérieur sans besoin de faire de show. Les variantes sont comme des ornements qui complètent la technique. Avoir une technique de base impeccable, c’est ça, la clef.
Il faudrait tout guider
C’est une croyance limitante de bon nombre de personnes qui guident : bien danser serait avoir un répertoire de variantes tellement grand qu’il suffit de bombarder sa partenaire d’information dans la crainte qu’elle s’ennuie. La personne qui guide porterait l’intégralité de la créativité, et sa partenaire (souvent une femme) est là pour exécuter et rendre l’ensemble « beau ». Il est louable pour un leader de vouloir maîtriser toute sa danse, mais certains restent bloqués à l’enchaînement ultra rapide de passes complexes ou à son contraire de présenter un cadre figé et immuable. La notion de conversation, d’échange et d’écoute est parfois absente dans la danse, et c’est franchement dommage.
Il serait parfois bon de respirer un bon coup, et de lâcher du lest, il est parfois bon de ne pas tout guider pour laisser à votre partenaire du temps d’écoute et d’interprétation personnelle. Pour moi, un bon danseur sait être à l’écoute quand il guide, et ne pas tomber dans l’hyper contrôle.
Il faudrait tout suivre
Du côté des personnes qui suivent, il y a souvent une culpabilité à ne pas comprendre une passe ou n’avoir pas réussi une variation (dont la faute ne lui incombe pas toujours, par ailleurs). Les personnes qui suivent doivent s’en débarrasser pour pouvoir avancer, d’autant que se forcer à être une follow exemplaire peut parfois être contre-productif, on se met à trop suivre. Suivre trop, c’est essayer d’être la suiveuse parfaite, légère, fluide, réactive…. Et sans personnalité.
Il y a un moment où, quand vous avez corporellement grimpé au niveau adéquat d’écoute, de réactivité et de maîtrise du corps, vous pouvez lâcher prise pour montrer votre personnalité. Il est légitime de prendre l’info dont on a besoin quand c’est nécessaire, rendre l’énergie qu’on vous donner ou proposer l’énergie qu’on ne vous donne pas, nourrir la conversation dansée, et aussi arrêter de faire les trucs qui ne vous plaisent pas.
Les qualités des top dancers
Il est temps de vous dévoiler les qualités qui sont, à mon avis, les plus prisées et valables dans les deux rôles :
- La capacité à circuler dans le flux de danseurs, à gérer l’espace disponible, à protéger son·sa partenaire des cahots du parquet
- La construction corporelle qui leur permet d’être confortable, léger mais très présent
- La capacité à gérer son propre rythme, savoir isoler ses jeux de jambes de son haut du corps pour faire des variations sans interrompre le flow de l’autre
- La capacité à attendre, à être attentif au confort de l’autre, focalisé sur le ressenti de l’autre et la bonne synchronisation du couple
- La capacité à analyser la musique et sa structure musicale, et à proposer une interprétation en conséquence
- L’ancrage, l’équilibre et les appuis solides sans se laisser déstabiliser
Être un bon danseur expansif
Vous aurez noté que, pour moi, être expansif n’équivaut pas automatiquement à bien danser, notamment car il s’agit souvent de rompre la connexion, alors que le confort et l’échange passent justement par là. Mais il y a bien sûr d’excellents danseurs expansifs, et c’est parce qu’ils ont particulièrement respecté les points suivants :
- Ils traitent avec respect et douceur le corps de leurs partenaires. Un danseur brutasse qu’il faut passer son temps à contrer pour se protéger n’est pas un danseur de qualité.
- Ils savent toujours où est leur partenaire, parce qu’ils ont contrôlé le parquet avant de l’envoyer en arrière, la protègent pour qu’elle ne percute personne, et sont là pour la réceptionner dans le temps. Pour cette raison, ils ne dansent pas les yeux fermés.
- Ils sont en capacité de revenir au pas de base à tout moment et savent danser sobrement si le parquet est bondé ou si leur partenaire n’est pas à l’aise.
Comment monter son niveau
Avoir une posture nickel
C’est vraiment la règle numéro 1. Je ne connais pas de bon danseur qui n’ait pas une posture impeccable. Comment savoir si on a une bonne posture ? Déjà en ayant conscience de sa posture 🥹
Les grands qui se voûtent, les petites qui dansent sur la pointe des pieds, les hanches trop en avant, les coudes qui sortent, les épaules contractées, les pieds trop écartés, les abrazos trop contractés ou trop lâches… Petit à petit, en prenant conscience de sa posture, on peut faire des micros ajustements qui amènent du confort et de la clarté à votre guidage et votre suivi.
Mes conseils :
- Vous filmer et analyser votre posture
- Demander à vos partenaires s’ils sont confortables pendant la danse et ce que vous pourriez éventuellement changer / adapter
- Tester différentes connexions
Être capable de faire le pas de base
Ça va vous sembler être l’évidence même, mais j’ai l’impression qu’il y a beaucoup de danseurs, même avancés, qui se sont lancés dans l’improvisation alors que le pas de base en lui-même était au mieux approximatif, voire totalement oublié.
À mon sens, être capable de faire un ou plusieurs pas de base, l’adapter au style du répertoire est la base d’un bon niveau technique.
J’ajouterais que beaucoup de personnes se galèrent avec le pas de base des musiques lentes, qui vont justement demander de la précision et d’habiter son corps.
Voilà, si vous voulez bosser la danse, travaillez vos pas de base, cherchez la précision et le confort dans la simplicité et la lenteur afin de devenir un automatisme.

Les élèves, quand je passe d’une valse normale à une valse lente
Écouter de la musique
Il y a plein de questions récurrentes des débutants du type « comment trouver le 1 dans la musique ? » ou « comment être en rythme ? ». Par l’écoute et la répétition, il n’y a pas de mystère ni de raccourcis. Il faut écouter de la musique, et s’entraîner en dansant ou en faisant du sur place (pourquoi pas en attendant le bus ?).
Mon conseil : Quand on part de zéro, pour trouver le rythme, c’est bien simple : si vous marchez et que vous écoutez de la musique, le corps humain a tendance à se mettre naturellement en rythme. C’est une capacité naturelle. Saisissez donc cette occasion pour vous délivrer du stress de « je n’entends pas bien la musique » et profitez-en pour vous faire une culture musicale.

Ce bébé n’a pas besoin qu’on lui compte ou lui explique le rythme, il est naturellement dedans.
Être focalisé et pleinement concentré sur le partenaire et sur la danse
A la base d’une invitation à la danse, il y a la volonté de partager un bon moment avec une personne, et cela doit rester notre objectif principal. La danse nous demande d’être focalisé sur notre partenaire, la piste et la musique. Dans le sujet qui nous occupe, notre partenaire, les signaux qu’il ou elle envoie et la conservation d’un axe et d’un focus sur cette personne, pour moi c’est le centre des choses. C’est un engagement à la fois moral et physique.
On peut être parfaitement dans le temps, connaisseur de la danse, faire 1000 variantes, être confortable, et être très technique, et pourtant :
- Se regarder danser (mon dieu, les salles avec des miroirs)
- Danser pour le public sans accorder un regard ou une once d’attention à leur partenaire (je ne parle pas des personnes qui gèrent l’espace de danse)
Donc à mon sens, un bon danseur n’est pas qu’une somme de techniques, mais doit également avoir des qualités d’empathie, d’attention et de générosité.
Bonus : Ne rien exiger de son·sa partenaire
Dans cette quête personnelle qui consiste à vouloir améliorer son niveau de danse, je pense qu’il est important de garder à l’esprit que votre partenaire n’y est pour rien. Les danseurs plus expérimentés ne sont pas là pour évaluer ou tester votre niveau. Les danseurs moins expérimentés ne sont pas là pour être testés ou vous entraîner. Au moment de débuter votre danse, la pensée saine, c’est de vouloir passer un bon moment avec votre partenaire. C’est tout.
Danser avec quelqu’un qui vous juge est un red flag majeur (selon moi).
J’entends souvent qu’un bon guideur c’est celui qui adapte son guidage au niveau de son·sa partenaire. Je n’aime pas cette expression qui sous-entend que la personne qui guide est celle qui a un niveau supérieur pour s’adapter ou s’abaisser au niveau de l’autre. On n’adapte pas son guidage au “niveau” de la personne. On s’adapte “à la personne”, à sa vibe, à ce qu’elle aime faire (ou ce qu’on en perçoit), à la salle, à la musique. On cherche un terrain d’entente dans nos compétences respectives. Il n’est pas question de niveau pendant la danse, il est question de moment partagé, et c’est la seule boussole qui devrait nous diriger.
Apprendre les deux rôles
J’ai un total respect pour les gens qui se dédient à un seul rôle, c’est totalement acceptable de n’être expert que d’une seule facette du partenariat dansant. Cependant, apprendre les deux rôles en danse m’a énormément appris sur la technique, sur la musicalité, sur la posture… Je pense avec ferveur que les savoirs s’ajoutent et que la technique, la construction du corps, l’écoute et la créativité sont multipliées quand on prend le temps d’apprendre les deux rôles. Autour de moi, si je devais recenser mes partenaires préférés, ils et elles sont généralement d’incroyables double rôles.
Aller en stage
J’aurais pu commencer par ça. Je crois dans les cours et les stages. Je crois aux transmetteurs qui mettent en place de la pédagogie pour aider les danseurs. Est-ce qu’on peut apprendre et s’améliorer sur les parquets par imprégnation ? Certainement, cela aide d’aller danser et de pratiquer. On peut aussi regarder les autres danseurs pour s’inspirer de leur pratique.
Pour autant, ma conviction c’est que les transmetteurs de danse vont vous aider à vous remettre en question, à mettre en perspective et orienter votre développement efficacement, et enfin, vous aider à corriger vos défauts.
Conclusion
Pour finir, j’aimerais vous dire qu’on s’en fiche complètement de cette histoire de niveau, qu’on est surtout là pour s’amuser et profiter. C’est vrai, et pourtant, pas tout à fait. Même s’il est normal de débuter et de ne pas avoir accès à tous les codes et toute la technicité dès le début, il y a deux choses qu’il me semble IMPÉRATIF d’acquérir à court-moyen terme : le confort de danse et la circulation en bal.
Je pense que de nombreux transmetteurs sont engagés sur cette question, et qu’ils sont tous prêts à donner des stages et enseigner ces notions. Allez les voir, ils pourront vous éclairer là-dessus, accélérer le processus et certainement vous transmettre plein d’autres choses que vous n’attendez pas.
Le confort de danse est impératif dans le vivre ensemble, c’est également le premier pas vers la musicalité, vous pourrez tout aborder à partir de là.
La circulation est un impératif pour une bonne gestion de la salle, du nombre de participants et la fluidité de la gestion de l’espace. C’est un enjeu collectif et pas seulement individuel, donc cela ne peut fonctionner que si tout le monde s’y met.
Bon travail à tous et toutes.