1er avril – Révolution dans le monde de la danse, plusieurs communautés ont décidé de mettre en place une police de la danse chargés de contrôler le bon comportement des danseurs. Parmi les brigades nouvellement créées, on retrouve la « Brigade du kiff », chargée de contrôler les flagrants délits de kiff.
Tango, blues, mazurka, kizomba … les danseurs sont à la recherche du « flow », cette énergie étrange qui les rends oublieux de l’endroit où ils se trouvent ou de la foule autour d’eux. Une ambiance propre au « kiff », comme disent les jeunes.

Les règles de la bienséance enfin respectées
Armés de leur bonne morale et d’une règle double décimètre, les agents de la brigade du kiff sont bien décidés à appliquer les règles les plus strictes du bal : carnet de bal, chaperon, et distance règlementaire.

Un officier proche de la brigade du kiff nous confirme de manière anonyme « Plusieurs flagrants délits ont été constatés, dont aucun n’a encore conduit à une interpellation même si nous avons plusieurs récidivistes en ligne de mire ».

Plusieurs autres brigades sont en cours de création, comme la toute nouvelle Brigade du Groove dont on annonce la présence cet été sur les parquets de festivals comme Gennetines ou Boombal. La « BGT », la Brigade du Trad, officiera quant à elle à Comboros.